SEO/SEM…définitions

9 septembre 2009

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L’optimisation pour les moteurs de recherche, appelé aussi SEO (de l’anglais Search engine optimization) est un ensemble de techniques visant à favoriser la compréhension de la thématique et du contenu d’une ou de l’ensemble des pages d’un site web par les moteurs de recherche. Ces techniques visent donc à apporter un maximum d’informations concernant le contenu d’une page web aux robots d’indexation des moteurs de recherche.

L’objectif de ce procédé est d’orienter le positionnement d’une page web dans les résultats de recherche des moteurs sur des mots-clés correspondant aux thèmes principaux du site. On considère généralement que le positionnement d’un site est bon lorsqu’il est positionné (classé) dans l’une des dix premières réponses d’une recherche sur des mots-clés correspondant précisément à sa thématique.

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Le Search Engine Marketing (SEM) appartient au marketing exercé sur les moteurs de recherche, il fait partie des Nouveaux Médias ; appelé aussi référencement payant, liens sponsorisés et liens commerciaux, il se concrétise par l’apparition de liens en dessus et à droite des résultats naturels (SEO) dit aussi organiques sur les moteurs et annuaires de recherche lorsqu’un internaute tape un mot ou une expression.

Le Search Engine Marketing à pour but l’achat d’espaces publicitaires dynamiques qui apparaissent donc en fonction des requêtes effectuées.

Cette discipline se base principalement sur le principe de la pertinence de l’association mots-clés/annonces (CTR – Taux-de-Clic – Click-Through-Rate), c’est-à-dire le rapport entre les apparitions (Impressions) et le nombre de clics effectifs. Un CTR élevé permet à terme d’obtenir une position plus haute pour un CPC moindre par rapport aux concurrents.

Au lancement d’une campagne de liens sponsorisés, il est nécessaire de définir une liste de mots-clés la plus pertinente possible, 3 types de match définissent l’appel des mots-clés, Requête Large (Broad Match), Expression Idéale (Phrase Match) et Exact (Exact Match).

Des enchères maximum (CPC Max. – Coût-Par-Clic – Cost-Per-Click) sont ensuite décidés pour chaque mots-clés ou en globalité, en dépendra notamment la position d’apparition de l’annonce ex. 1,2,3 en partant du haut vers le bas, la position haute étant un meilleur emplacement publicitaire, le CTR est meilleur.

La création d’annonces précises dont le rôle est de représenter les mots-clés et aussi de garantir un dernier filtrage, permettra d’obtenir un trafic qualitatif, la décision de cliquer se faisant en 0,3 seconde, cette étape est primordiale.

La mise en place et la gestion de campagnes de liens sponsorisés est relativement complexe, mais le retour sur investissement (ROI) particulièrement élevé par rapport à d’autres supports ex. bannières, explique l’engouement des annonceurs dans le monde pour le Search Engine Marketing. Les premiers marchés étant 1.US, 2.UK, 3.France.

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Web 3.0, Real Time Web ou RTW

25 juillet 2009

Effectivement Google va avec sa plateforme Wave, nous proposer de l’internet en temps réel sous très peu de temps, armons-nous de patience…

Google Wave Developer Preview at Google I/O 2009

25 juillet 2009

Tag et buzzword (part 2)

12 juin 2009

…est à même de pratiquer le cloud computing à partir de groupware et donc participer activement à un changement de paradigme des modes de communication. Il semble maintenant évident que la segmentation du web ne se fait plus sur la seule qualification de ses acteurs, mais aussi sur la capacité qu’ils ont à procéder au décryptage de l’information. Le référentiel de cette brève analyse est basé sur un schéma directeur classique de type : observation, hypothèse, expérimentation. Il semble par ailleurs nécessaire d’entrevoir des solutions permettant notamment la réversibilité des opérations, favorisant ainsi les synergies nécessaires à une approche transversale, l’offre triple play en est un bon exemple …;-)

Tag et buzzword

11 juin 2009

Un tag est une métadonnée interprétable par un moteur de recherche. Il permet de délimiter sémantiquement l’information. Un buzzword est un mot qui par définition génère un « buzz« , c’est à dire une opération marketing.
Le point de convergence entre ces deux termes est bien sûr le web.
Si je vous dis que le business model parfait repose sur une gouvernance organisée par un leadership capable de trouver l’adéquation entre l’offre et la demande.
Si je vous dis encore que chaque internaute possède, non pas à l’insu de son plein gré ;-), mais peu être sans le savoir une datawarehouse et qu’il est donc en mesure de saisir les opportunités de l’environnement matriciel d’internet en repérant les best practices afin d’optimiser son workflow et donc son empowerment.
Il en résulte que la next generation web 2.O ….

Web 3.0, web sémantique ?

23 Mai 2009

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Tout porte à croire que le l’internet s’oriente vers un web sémantique. Effectivement la convergence des agrégateurs d’information comme Google basent le référencement sur des « keywords« , des mots clés. Issu d’un algorythmme complexe, le « top ranking » c’est à dire le classement des 10 premiers résultats affichés (la page 1 de Google) suite à une requète, peut-être déterminé (sachant qu’environ 80% des utilisateurs auront tendance à formuler une nouvelle requète plutôt que d’aller sur la deuxième page des résultats)

L’architecture d’un site est la première réflexion à avoir lorsque l’on souhaite avoir une visibilité/crédibilité sur le web. Effectivement, le nom du site comme les menus ou les « tags » sont autant d’informations repérables par les moteurs de recherche.

Les « keywords » sont donc à intégrer comme des signifiants faisant aussi fonction de balise.

La question se tourne donc vers les mots clés en mesure de générer du traffic.

Le « knowledge management » c’est à dire la gestion des connaissances répond  pour partie à cette interrogation. L’intégration de données plurielles s’agrège et s’organise autour des mots qui entrent en résonnance, au sens quasiment « acoustique » du terme, avec la matrice web, c’est à dire dans la capacité qu’ils ont à créer un signal et à faire renvoyer l’écho de ce signal par les moteurs de recherche.

Google se sert de cet écho/feed-back comme d’un moyen stratégique de premier ordre afin de développer une analyse très fine des motivations de ses utilisateurs, à tel point que l’entreprise peut anticiper les attentes des internautes et créer les services répondant à ces attentes ,…ainsi générer de nouvelles études sur de nouveaux services qui eux-mêmes généreront de nouvelles attentes…ect..et donc de nouveaux besoins ! et donc de nouvelles parts de marché. C’est simple…ou presque !

Cela explique aussi le succes phénomènal de Google 😉

Bien plus qu’un simple moteur de recherche, Google Analytics propose de nombreux services y compris la vente de mots clés pouvant suppléer une architecture de site ou une data base inneficiente.

Suppléer oui, .mais remplacer non, car dans ce cas, le site est accessible dans la colonne de droite, c’est à dire celle de la publicité….cette information suppose donc implicitement que le site n’est pas bien référencer et montre donc, de fait, une faiblesse technologique visible de ses prospects, clients et fournisseurs.

Il est donc stratégique d’avoir un excellent référencement pour pouvoir conquerir de nouvelles parts de marché lorsque l’on est une entreprise. Il en est de même pour toutes les institutions publiques souhaitant avoir un rayonnement local, national ou international de qualité.

Gestion des connaissances, Web 2.0, Web 3.0

15 Mai 2009

communaute-webAlors que le débat fait rage sur la toile pour définir ce qu’est le Web 2.0, la définition du Web 3.0 est déja en cours de rédaction sur Wikipédia et les plus audacieux à l’instar de Joël de Rosnay envisage déja ce que sera le Web 4.0.

Mais quand est t-il concrètement ?

La gestion des connaissances c’est à dire le « knowledge management » nous apprend que, seule l’intervention humaine peut transformer des données brutes en connaissances applicables, c’est à dire en compétences.

Appliqué au Web, nous avons comme exemple probant l’essor du logiciel libre qui, aujourd’hui, supplante globalement le logiciel propriétaire dans les fonctionnalités et l’ergonomie. Cela étant plus particulièrement visible sur les applicatifs Web.

2009 et Web 2.0

3 Mai 2009

Les sciences cognitives

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Alors même que l’intérêt commun est de mettre en perspective la diffusion des connaissances, l’outil Web 2.0 est en mesure de répondre à ce défi mondial. Les sciences cognitives alliées à L’Open Source représentent la meilleure option de déploiement de l’information et de la compétence. Largement aussi efficaces que les systèmes d’exploitation et logiciels dits « propriétaires », les logiciels libres proposent une diffusion plus ouverte et moins onéreuse.

Au regard des urgences sociales, économiques, environnementales les applications du Web 2.0 représentent, de fait, l’objet pouvant relier les personnes en situation de proposer des solutions efficientes, à celà il faut ajouter les phénomènes d’émulation qui sont de premières importances dans  toute approche cognitive 😉